Article publié dans les Carnets de Vauban du Journal de l’Économie.
Comme à son habitude, la France entend utiliser sa présidence du Conseil de l’Union européenne débutée le 1er janvier 2022 pour six mois, comme un « levier d’Archimède », ce qui a d’ailleurs souvent le don d’agacer les partenaires européens de la « Grande nation ». À cette occasion, la France ambitionne de faire de la transformation et de la « souveraineté » numériques l’une de ses priorités.
En décembre 2021, Emmanuel Macron déclarait déjà vouloir « faire de l’Europe une puissance du numérique et de ne pas subir la loi des autres puissances, en définissant nous-mêmes les règles pour le monde numérique ».
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